Lorsque le Syndrome des Ovaires Polykystique a été découvert, en 1935 par Stein et Leventhal, les follicules qui n’étaient pas arrivés à maturité dans les ovaires, ont été identifié comme des kystes. Le nom de ce syndrome porte à confusion et ne correspond pas du tout à la réalité de ce que vivent les femmes qui en sont atteintes.

De ce fait, lorsque j’évoque mon SOPK à mon entourage (proche ou non) on m’a déjà dit “ha oui moi aussi j’ai des kystes aux ovaires”. Alors, comment dire que… non ! Ni l’un ni l’autre n’est plus ou moins important, ca n’a juste rien à voir.

Mais qu’es ce que c’est ? Tout simplement vos follicules qui n’arrivent pas a maturité dans les ovaires, donc qui ne se transforment pas ou peu souvent en ovules, ce qui génère des cycles irréguliers, chez la femme qui en est atteinte. On appel cela des aménorrhées.

C’est un déséquilibre hormonal causé par une production excessive d’hormones androgènes, en particulier de testostérone.

1 femme sur 10 est concernée, et c’est la 1ère cause d’infertilité chez la femme.

Source de l’image : Symptômes du SOPK et traitement du syndrome des ovaires polykystiques

Les 4 types de SOPK et leurs symptômes

Inflammatoire : acné, rougeurs, kystes aux ovaires, ballonnements

Insulino-resistence : gain rapide de poids, pilosité faciale, règles irrégulières, envies de grignoter, perte de cheveux

Hypothyroïdien : perte de cheveux, fatigue constante, gain rapide de poids, frilosité

Surrénalien : fatigue, anxiété, changement d’humeur, dépression

Il est important de comprendre quels est sont ou ses types de SOPK, pour gérer les symptômes. Par l’alimentation, le bien-être, le sport… Nous détaillerons tout cela dans d’autres articles, il y en a des choses a dire !

PCOS ou SOPK, quelle est la différence ?

On trouve souvent sur internet les 2 termes. Ils désignent en réalité exactement la même chose, mais l’un en Anglais, et l’autre en Français :

  • PCOS = PolyCystic Ovary Syndrome
  • SOPK = Syndrome des Ovaires PolyKystiques

Et maintenant ?

La première chose qu’on nous dit c’est « il faut perdre du poids ». Oui, c’est sur que j’aimerais être plus mince… mais comment ? Car visiblement faire attention ne suffit pas. C’est la question à laquelle nous allons essayer de répondre.

Gérer les symptômes, gérer son poids : même combat !

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